CHEZ PATXI
An address offering simple and tasty cuisine typical of the Basque Country with the chef's daily suggestions.
Chez Patxi: a large bodega with a sober, bright decor and a large table and benches, elsewhere a round or square table, elsewhere 2 high tables in front of attractive full-length shelves displaying on one side the wines on the menu and on the other, Venta Patxi with some local produce for sale, arriving directly from local producers. On the menu: homemade tapas to share, vegetarian burger, veal axoa, duck breast, blonde d'Aquitaine prime rib, Spanish-style line hake...the complete Patxi plate.
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The strengths of this establishment:
Members' reviews on CHEZ PATXI
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produits frais et bien travailles.
on ne peut pas se tromper
Baratin aguicheur : sangria faite tous les jours par « maman », idem pour les desserts.
Nous nous laissons, bien malheureusement, prendre.
Sangria en apéro : industrielle, tout prête, garnie de deux pauvres rondelles de citron et d’orange + glaçons. Pas bonne du tout.
Soupe de poissons pêchés par l’oncle et « faite maison » : industrielle mais correcte.
Lomo (porc de la région) aux poivrons rouges pour moi et Paella pour madame.
Lomo : 3 pauvres tranches de rôti sèches et sans sauce + 2 petits morceaux de poivrons rouge au vinaigre tirées d’un bocal, frites infâmes. IMMONDE !
Moi qui pensais déguster une préparation genre poulet basquaise mais avec du porc, j’ai la rage !
Paella ? D’usine, au légumes, elle sera garnie de quelques coquillages dégelés et de quelques crevettes. Mangeable, mais sans plus. Madame n’est pas difficile.
En dessert, clafoutis quelconque aux cerises fait par « Maman ». Je dois encore vérifier si une usine porte ce nom dans la région...
Bref, 61€ gaspillés dans un resto les pieds dans l’eau, vue magnifique, moins bon que la cantine scolaire de mes petites filles !
Le patron s’est mis à m’engueuler quand je lui ai fait, poliment mais fermement, part de mes remarques.
Quand je lui ai fait remarquer qu’il avait tiré ses deux poivrons d’un bocal au vinaigre, il m’a assuré qu’il avait autre chose à faire que de perdre son temps à acheter des produits frais au marché à 8h30 le matin... vous avez compris que discuter plus loin ne servirait manifestement à rien.
Bref, à 59 balais, je n’ai, de toute ma vie, jamais aussi mal mangé dans un établissement !