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AUBERGE METZGER * * *

Hotel €€
4.9/5
25 review

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Carte de l'emplacement de l'établissement
55, rue Principale, 67130Natzwiller, France
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2024
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2024

Inn with a family atmosphere and a refined decor with flowered balconies, terraces and garden, with rooms of character

The Metzger family welcomes guests in a warm and refined setting. The terraces and ornamental garden are an invitation to relax. Each room has its own character, and is particularly cosy. Exposed beams, sloping ceilings, wooden furniture and modern amenities combine harmoniously in each room. Here, it's best to try the full experience by choosing one of the packages combining hiking and the pleasures of the table, which are worthy of the 3 cocottes on display. Special mention for the cochonnailles menu!

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Members' reviews on AUBERGE METZGER

4.9/5
25 reviews
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Setting / ambience
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Visited in august 2023
Quel bel hôtel, avec une jolie terrasse et de grandes chambres! La notre était dotée d'une baignoire balneo, idéale après une belle journée de rando. Literie excellente, nous avons également apprécié le calme de l'établissement et du village. Une bonne nuit après un diner excellent et avant le petit-déjeuner varié et gourmand. Nous nous sommes régalés ! La famille Metzer est franchement sympathique, nous garderons un excellent souvenir de notre (trop) court séjour .
Visited in august 2023
Très belle endroit nous avons manger à 6 tout était parfait du début à la fin cuisine raffiné personnel simpa et souriant .
Visited in august 2023
Cuisine très savoureuse, personnel sympathique, belle vue sur les Vosges.
Visited in august 2023
Un accueil charmant. Une grande attention, alors que nous avions une demande un peu atypique, en plus d’une cuisine exceptionnelle et de chambres très confortables. Un séjour à marquer d’une pierre blanche et d’Un grand réconfort après une rando pluvieuse. Merci à toute la famille.
Visited in july 2023
Si l'on tape le nom de Natzwiller dans un moteur de recherche, on est automatiquement dirigé vers le Struthof. C'est le nom de l'ancien KL issu du sinistre passé nazi. L''Auberge Metzger', le point fort de Natzwiller, ne figure pas dans la liste. Cela en dit long. Manifestement, ce lieu situé en altitude sur le contrefort sud-ouest du massif de l'Odilée est considéré comme totalement insignifiant. On y accède en quittant la vallée de la Bruche à La Broque, une commune calme et discrète, et en remontant l'étroite route de montagne. Nous avons commencé à nous demander si nous avions choisi le bon site pour notre séjour d'une semaine, car l'endroit n'avait rien d'accueillant. En suivant la longue pente, nous avons passé l'endroit où la route d'altitude bifurque vers le camp du Struthof et se poursuit jusqu'au Mont Ste-Odile. Immédiatement après, nous avons aperçu les premières maisons de Natzwiller, un village-rue qui, à notre avis, s'étendait à l'infini. La première impression était désabusée : beaucoup de vieilles maisons individuelles qui, vieillissantes, attendent désespérément d'être rénovées. La vitalité d'autrefois a fait place à la tristesse d'aujourd'hui. Et cette observation s'est encore renforcée par le nombre impossible à dissimuler de maisons abandonnées et de bâtiments à usage commercial qui servaient autrefois à la fabrication de textiles. Aujourd'hui, ils sombrent dans un sommeil de Belle au bois dormant.||||Enfin, la bonne surprise espérée en haut de la rue Principale : l'"Auberge Metzger". Bien située, bien entretenue, rénovée à l'intérieur comme à l'extérieur, avec un parking suffisant de l'autre côté de la rue. En cette fin d'après-midi de début juin, la couleur légèrement abricot de la façade rayonnait de toute sa force dans la lumière chaude du soleil. Vue de l'extérieur, l'Auberge ressemble à une petite auberge confortable avec sa terrasse invitant à la détente, abritée par le feuillage imposant d'un grand tilleul et sur laquelle sont répartis des groupes de sièges de différentes tailles. Mais c'est une illusion quand on pénètre à l'intérieur. Ici, le regard s'ouvre sur l'espace et la profondeur. À gauche, on accède à l'espace petit-déjeuner et à droite à la salle à manger - semblable à un salon avec des pièces ouvertes. La couleur dominante est le blanc : pour le plafond et les murs, pour la vaisselle et pour les nappes. Il n'y a pas de disposition stricte des sièges comme dans la salle d'attente, mais des groupes de tables de différentes tailles, disposés avec soin en fonction de l'espace disponible, de sorte que le client peut choisir sa place individuelle. Les bouquets de fleurs et le choix des tableaux ont également fait preuve de beaucoup de goût - Mme Metzger a manifestement pu y concrétiser ses idées créatives. ||||Un autre espace agréable, tout blanc, discrètement éclairé par des spots au plafond et doté d'un nombre suffisant de sièges. Malheureusement, le petit-déjeuner n'était pas à la hauteur de nos attentes. Un établissement comme le 'Metzger', qui s'est forgé une si bonne réputation au fil des ans, économise ici du mauvais côté. Cela se reflétera également dans les évaluations sur Internet, qui jouent toujours un rôle en arrière-plan dans la prise de décision personnelle. Celui qui veut être parfait et qui a l'ambition de prétendre à un niveau élevé doit le faire sur toute la ligne, il ne peut y avoir de concessions. Obtenir une performance optimale avec peu d'efforts - ce calcul ne peut pas fonctionner. Le petit-déjeuner répondait tout juste aux critères d'un standard minimum moyen, le manque d'amour et d'envie régnait sur l'investissement personnel. Chaque jour, les mêmes produits et aliments, on espérait en vain de la variété. Dans le détail : Des céréales prêtes à l'emploi, parfois agglomérées, accompagnées de poires et de pêches en boîte. Immenses plateaux de charcuterie avec fromage et jambon en tranches (qualité correcte, mais tranches malheureusement trop épaisses). Camembert indéfinissable à la Géramont ou Président (marques peu demandées en France) - et ce dans un pays fier de ses plus de mille variétés de fromage ! Pour le pain, ce n'était pas différent : pas de baguettes fraîchement sorties du four ou de pain complet de la boulangerie d'à côté (y en avait-il une ?), mais des produits industriels de masse. Pour se préparer un œuf à la coque ou un œuf dur, il fallait d'abord réussir à actionner un appareil de préparation d'eau chaude dont la taille nous étonnait. Comme le fonctionnement n'était pas évident, nous n'avons pas pu éviter de demander des précisions. Et bien sûr, il y avait aussi des fruits frais, dans un coin à droite. Je ne me prononcerai pas sur la qualité. Juste que la date de péremption de certains kiwis était dépassée depuis longtemps.||||Que faut-il changer ? C'est très simple : plus de variété ! Par exemple, une omelette ou un œuf au plat fraîchement préparés, un peu de saumon fumé, une salade de fruits frais que l'on remplit à nouveau selon les besoins, quelques lamelles de tomates, de concombres ou de poivrons ou encore de délicieux antipasti cuits sur une plaque. En bref, le petit déjeuner a besoin d'être amélioré, un nouveau concept devrait être mis en place, dans lequel la cuisine serait davantage impliquée.||||La chambre (chambre "confort") a de nouveau marqué des points au 'Metzger'. Elle était située à l'arrière, côté jardin, et disposait d'un petit balcon. La chambre était agréable, claire et spacieuse, avec un grand lit et une tablette rembourrée devant, un ensemble de sièges et un bureau qui pouvait accueillir un mini-réfrigérateur dans le meuble bas de droite. Le matin surtout, la lumière du soleil, dès qu'elle avait franchi le bord de la crête, illuminait toute la pièce. Rien à redire non plus sur la salle de bain : suffisamment grande et confortable, équipée de deux lavabos et d'une baignoire d'angle à entrée arrondie (un peu haute pour les personnes âgées), d'un siège astucieux ! et dotée en plus de nombreuses buses de massage. C'était quelque chose ! De même, le service de chambre quotidien était une évidence, tout comme le remplacement complet des serviettes (nous avons apprécié, mais cela n'aurait pas été nécessaire). Et pour finir, il ne faut pas oublier les toilettes séparées avec un minuscule lave-mains, dont l'installation relève plus d'une concession aux règles de construction que d'une utilisation pratique. En tout cas, c'est un objet qui a toujours suscité l'hilarité chez nous.||||Le point culminant absolu de chaque journée après une randonnée exigeante était le dîner du soir sur la terrasse. Nous l'avons longuement célébré dans une atmosphère estivale. L'éclat doré du soleil a rapidement enveloppé l'auberge et les espaces extérieurs d'une atmosphère paisible, puis la vallée, le village et enfin les montagnes voisines. Et lorsque, à la tombée de la nuit, les spots et projecteurs ont été allumés, la lumière chaude a transformé l'ensemble en un décor magique - un lieu qui libérait les pensées et dont il était difficile de se séparer. ||Le dîner s'est ouvert de manière classique avec un apéritif (crémant avec une pointe de pêches de vigne / guignolet avec glace), suivi peu de temps après par le petit bonjour de la cuisine, accompagné de délicieux pains. En ce qui concerne les plats, la clarté nous a surpris, c'est pourquoi il n'y avait qu'une petite carte, complétée en outre par les suggestions (plats du jour) sur une ardoise manuscrite. Cela ne nous a pas dérangés, car ce n'est pas la quantité qui compte, mais seulement la qualité. Et celle-ci s'est distinguée par son haut niveau, à une exception près. Pour le faux-filet (en France, il s'agit d'une coupe dans la longe, donc d'un rumsteck), il n'a pas pu être tenu. Malgré une réclamation, le filet est resté coriace. La meilleure alternative n'aurait pas été de le rôtir, mais de le braiser. Les noisettes d'agneau n'auraient pas non plus posé de problème. Malgré tout, M. Metzger suit une ligne claire dans son art culinaire et attache de l'importance à un solide savoir-faire artisanal. La composition de ses plats est déterminée par la créativité et la finesse de la présentation. Les sauces (claires/foncées) qui les accompagnaient, avec leurs notes épicées, mettaient en valeur la viande ou le poisson et les garnitures, complétant ainsi l'expérience gustative. Le service s'est lui aussi comporté de manière professionnelle : discret, attentif, présent quand il le fallait et toujours ouvert aux questions. Céline Metzger, la fille de la maison, a particulièrement mérité notre reconnaissance personnelle pour son attitude attentive et intransigeante.||Pour les vins, nous n'avons pas été aussi sélectifs cette fois-ci. Nous nous sommes contentés des offres ouvertes des caves alsaciennes (pinot gris / gewurztraminer) : elles s'accordaient bien avec les plats et nous ont plu pour leur fraîcheur délicate et leur jeu équilibré entre douceur et acidité.||Qui, en tant qu'amateur de vin, préfère les cépages haut de gamme, devrait entrer dans la logique que je ne connais que de la France dans son évidence démystificatrice : "Un bon repas mérite un grand vin". Il est alors amusant de 'parcourir' les crus nobles des régions viticoles les plus importantes de ce pays pour trouver le vin qui - riche en bouquet et opulent dans ses structures - s'accorde parfaitement avec le menu ou le plat principal. Et ce, dans l'intention de donner un coup de pouce supplémentaire à l'expérience sensorielle du plaisir. Toutefois, les prix se situent dans un cadre qui laisse beaucoup d'espace vers le haut.||La dernière attention doit être portée sur la carte des desserts. Les tentations sucrées se veulent une 'inspiration du chef'. On ne peut pas y résister. Parmi mes favoris, je citerai la 'Meringue glacée avec Chantilly' et la classique 'Tarte aux Myrtilles' d'Alsace.||||||Conclusion:||L'Auberge Metzger' à Natzwiller est le véritable point culminant de ce petit village de montagne isolé sur les contreforts du Mont Sainte-Odile. C'est un lieu peu spectaculaire, sans rayonnement particulier, qui s'inscrit dans le destin de la complaisance petite-bourgeoise avec des signes évidents de morbidité naissante. On ne distingue pas de centre-ville fermé, Natzwiller se révèle plutôt être un habitat dispersé dont les petites maisons sont accrochées aux pentes abruptes du Pfriemenkopf. On y cherche en vain le charme pittoresque des villes fleuries ou des villages viticoles de la route du vin alsacienne.||L'Auberge Metzger' est une adresse de choix pour un long week-end, que l'on peut recommander en toute bonne conscience. Nous avons été convaincus par les chambres spacieuses et bien équipées, l'aménagement élégant de la salle à manger et de l'espace petit-déjeuner, la grande qualité et le savoir-faire artisanal des plats. Ainsi, les repas pris en petit comité ont donné lieu à des expériences gustatives variées, auxquelles le personnel attentif a également contribué. ||Toutefois, le niveau a nettement baissé au petit-déjeuner. Ici, le rapport qualité-prix n'est pas bon. A long terme, on ne pourra pas faire l'économie d'un 'renouvellement' conceptuel. ||La direction de l'Auberge est assurée par M. et Mme Metzger, qui s'occupent avec engagement du bien-être de leurs hôtes, afin de faire de leur séjour une expérience inoubliable. L'avenir de cette maison semble également assuré, car la prochaine génération est déjà impliquée dans la responsabilité. Je me suis particulièrement attaché à la mamie qui, malgré son grand âge, est encore présente tous les jours dans l'établissement, effectue de petites tâches et observe tout ce qui se passe. Rien n'échappe à son regard attentif. "Elle surveille tout" en dit long sur le rôle qu'elle s'est attribué.||||Celui qui a l'intention de passer quelques jours de plus à l''Auberge' ne devrait pas se fier à la spontanéité du moment, mais à un programme bien préparé. Car cette région très boisée, avec ses immenses hêtres et son réseau de sentiers sans fin, est un paradis pour les randonneurs. Voici quelques-uns des circuits que nous avons testés : Cascade de la Serva à Natzwiller ; Casc. du Soultzbach près d'Urmatt ; Château Salm avec Chatte pendue ; Ch. de Guirbaden près de Grendelbruch ; sentiers isolés dans la Forêt de Lutzelhouse ; Mont Ste. Odile (Circuit du Mur paiën - Circuit du Ch. Landsberg)||||||Un conseil utile:||on peut faire le plein à bon prix à la petite station-service devant le SUPER-U à Russ (sortie au rond-point). Les colonnes 2 et 3 sont desservies par un automate ; le paiement se fait facilement par carte. Le menu est simple, facile à comprendre et disponible en plusieurs langues. Bon à savoir : Gazol????e ≙ Diesel

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