CINEMATEK
Take advantage of the Cinematek's incredible archive of films from the past and the present, at ultra-low prices.
This museum of cinema is a real blessing that allows us to enjoy its incredible archives and presents, at ultra-low prices, films of yesterday, yesterday and today, as well as thematic retrospectives or of foreign directors. You can see all the Charlie Chaplins, The Shining on the big screen, Gone with the Wind and all those mythical films that give so little of themselves on video. With more than 70,000 titles, the Royal Film Library's collection is one of the most important in the world!
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Members' reviews on CINEMATEK
The ratings and reviews below reflect the subjective opinions of members and not the opinion of The Little Witty.
Aujourd'hui, elle est gérée comme une pizzeria familiale. On prétend qu'il n'y a pas assez d'argent pour organiser des rétrospectives et échanger des copies avec d'autres cinémathèques, mais on emploie deux salariés pour vendre et scanner des tickets, à l'heure de la numérisation et de la disparition des guichets.
On prétend que ces préposés sont aussi présents pour renseigner les visiteurs, mais ils n'ont pourtant aucune qualification particulière. Au contraire, avec le temps (certains effectuent ce "job d'étudiant" depuis 25 ans), ils s'approprient le lieu et pourrissent l'ambiance. Des cinéphiles ont fui à cause de leurs médisances. De surcroît, ils laissent faire les fâcheux, mangeurs de pop-corn et autres pénibles... Avec qui ils bavardent longuement comme au café du commerce.
De plus, il est indigne pour une cinémathèque nationale de projeter des Blu-ray du commerce, plutôt qu'une copie adaptée aux salles de cinéma. Espérer que le spectateur ne le remarquera pas est un manque de respect pour lui (et pour le cinéaste.)
Je précise qu'il ne s'agit pas de films rares, mais de classiques qui ont bénéficié ces dernières années de nouvelles sorties en salles, notamment en France. Est-ce trop compliqué de montrer une copie adaptée à un écran de cinéma ?
Les employés ne voient-ils pas la différence ? Sur quels critères ont-ils été sélectionnés ? Par qui ?
Le plus triste est de constater que la collection de milliers de films (de tous les genres, y compris les cinémas populaires), récoltés par Jacques Ledoux pendant des décennies, reste très majoritairement invisible. Cet héritage patrimonial n'est pas suffisamment mis en valeur. La Cinémathèque montre, en boucle, toujours la même partie émergée de l'iceberg.
Pour tenter de se donner une légitimité qu'il n'a pas (il est ingénieur forestier, pas du tout archiviste), le « conservateur » flamand se montre autoritaire envers les lanceurs d'alerte wallons qui osent critiquer sa gestion de l'institution et des collections, pourtant patrimoine national.
Le « conservateur » n'a aucune éthique professionnelle. Notamment, il embauche sa fille, pourtant sans qualification particulière, avec l'argent des subventions publiques.
Il est surprenant que les subventions ne soient pas conditionnées à la bonne gouvernance.