AUBERGE-EXPO DU YOUDIG
Address at the same time inn, lodgings, museum, café and store where you can taste the specialities of the house and attend the animations
This hybrid place, where an inn, gîtes, a museum, a café and a shop coexist, is unique! You will be immersed in a décor of yesteryear where everything reminds you of the Brittany of yesteryear. You will have to try the kig ha farz, or Breton pot-au-feu, the house speciality. Accompanied by a preparation of buckwheat cooked in linen bags, it is eaten with lipig (a sauce made with melted butter and shallots). Numerous activities brighten up the place: storytelling evenings, discovery walks, initiation to Breton dance... Welcome to the land of legends!
Did you know? This review was written by our professional authors.
Members' reviews on AUBERGE-EXPO DU YOUDIG
The ratings and reviews below reflect the subjective opinions of members and not the opinion of The Little Witty.
avons hâte de revenir manger le fameux kig ar farz
Copieux et rustiques comme on l'aime.
Les hôtes sont très accueillants !
J’ai réservé par téléphone et la dame en toute vitesse m’a demandé, «royal ou normal?». Je lui demande quelle différence et elle me répond «royal c’est mieux», donc on prend le royal. La dame m’a informé que nous devions être sur place entre 12h00 et 12h15.
L'accueil était superficiel, sans sourire ni amabilité.
La table à côté était tellement proche que nous pouvions à peine nous y glisser. Pressés comme des sardines et sans aucune possibilité de bouger, nous remarquons la présence d'un verre de kir (heureusement, je l'apprécie, mais il aurait dû être servi bien frais), une bouteille de cidre (qui aurait également dû être servie bien fraîche) et une carafe d'eau (dont la propreté était approximative). La table n'était pas très propre; des miettes de pain et d'autres restes de nourriture étaient présents. Pour couronner le tout, il y avait des incrustations de nourriture sur la table.
Malgré un départ déplorable, nous n'avons pas laissé cela nous
démoraliser car nous sommes venus ici pour goûter le fameux kig ha farz.
Entrée: une soupe de bouillon du pot au feu du kig ha farz avec des
carottes, choux et une quantité impressionnante de pain bien trempé, fade et sans saveur. Quantité déraisonnable, présentation digne d'une cantine, peu appétissante. Impossible de tout manger.
Immédiatement après, servie avec la même attitude froide et distante, arrive une salade de tomates (évidemment fade en décembre) et des carottes, déjà assaisonné et peu breton.
Enfin, arrive le kig ha farz royal (avec supplément de prix car dans le kig ha farz normal, le jarret n'est pas inclus!). Le plat, par
personne, se compose d'un jarret, d'une tranche de viande de bœuf,
d'une tranche de poitrine fumée (pourquoi fumée ?) et d'une tranche de saucisse, avec une quantité disproportionnée de pommes de terre (sèches), de carottes, et un morceau de chou cabus (et non de Milan), le tout fade et découpé grossièrement en morceaux énormes. Trois farz différentes, sèches, ont été servies sans aucune explication. La présentation n'était pas soignée.
Le jeune homme qui nous a servi travaillait comme sur une chaîne de montage.
En bref, peut-être avons-nous mangé la moitié pour être optimistes,
bien que nous soyons généralement assez gourmands. C'est déchirant de gaspiller de la nourriture, alors nous avons demandé au jeune homme si nous pouvions emporter le reste (le fameux doggy bag). Refus total, hors de question (malgré nous payons tout, inclus les restes). Il commence à nous raconter une histoire incroyable digne d'une légende bretonne, de choux qui s'acidifient et, non content de cela, il raconte une autre histoire d'un homme mort après un doggy bag de sardines, arrivé chez un autre restaurateur. Mais n'est-ce pas contre la loi tout cela ? Pas raconter des légendes bien évidemment, mais de refuser le doggy bag. C’est la loi qui le dit. Les restaurateurs ont désormais l'obligation de vous proposer un "doggy bag". Tant que professionnels, ils devraient le savoir.
Ils nous assurent que la nourriture ne sera pas jetée :
ils la donnent à des éleveurs de porcs auprès desquels le restaurant rachète ensuite les produits. Ces porcs sont bien nourris, ils en profiteront, ai-je pensé. Un doute surgit dans mon esprit, étant donné la quantité de nourriture: les restes ne sont-ils pas recyclés ? Nous ne savons pas, mais la mauvaise foi et les mensonges nous font penser ainsi, et le doute persiste. Malgré la grande déception face au refus, nous n'avons pas discuté.
Gâteau breton (industriel) avec un café thermos imbuvable. À la caisse, même attitude glaciale pas un mot. 72 euros pour deux personnes (sans vin, sans extra). Au moins, nous avons contribué à nourrir les porcs.
Restaurateurs qui ne font pas honneur à leur profession, désagréables dont l’honnêteté est au moins douteuse. Travail sans passion.
Très déçus. Il y a bien mieux ailleurs, moins cher, mieux soigné, servi avec politesse, passion et professionnalisme.