LA MAISON LACUBE – LE RESTAURANT DE L’ÉLEVEUR
Regional cuisine
•
€€
2024
Recommended
•
2024
Farm, farm store and restaurant serving traditional dishes
A veritable Ariège institution, it is a breeder, restaurant and farm store. Its aim is to bring farmers and consumers closer together. Alongside the meats and products served in the restaurant, you'll find a fine selection of know-how from local farmers and craftsmen. The menu features traditional dishes, burgers for teenagers with bread from the village baker and farmhouse cheeses. The dishes are really hearty. The welcome is always top-notch!
Did you know? This review was written by our professional authors.
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Members' reviews on LA MAISON LACUBE – LE RESTAURANT DE L’ÉLEVEUR
4.7/5
38 reviews
Quality/Price ratio
Kitchen quality
Originality
Frame/Ambiance
Service
avis_note_categorie_0
The ratings and reviews below reflect the subjective opinions of members and not the opinion of The Little Witty.
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De l'entrée au dessert rien à dire à part parfait!!
Le menu découverte, les beaux morceaux de viande et l'hamburger ado.
Tout le monde c'est regalé.
Un sans faute.
On y retourne demain avant notre départ et après le restau on fera des emplettes au magasin.
Les desserts sont simples mais permettent de finir agréablement le repas : une part de fromage des Pyrénées et une croustade aux pommes qui m'a réconcilié avec ce dessert parfois négligé. Détail agréable : le pain est distribué en baguettes non coupées, ainsi chacun peut le manger comme bon lui semble, et non se limiter à quelques tranchettes dans une corbeille.
Le service en plats "à partager" est très convivial (à condition de ne pas être avec des égoïstes), et l'animation de M. Lacube et son équipe appréciable (chants traditionnels pendant le repas...), malgré un aspect "show" un peu trop commercial à mon goût.
Félicitations pour cette initiative qui permet de découvrir des produits de terroir, authentiques et de qualité !
Sur les conseils professionnels du serveur, j’opte pour le menu à 20 Eur qui semble d’un bon rapport, ce qui se confirme avec la salade en entrée, parsemée de morceaux généreux d’une truite locale.
Enfin, voila le plat de viande, ce pourquoi, en principe, on vient dans ces Cabannes. Deux épaisses tranches de rôti de bœuf froid atal, belles d’apparences tapissent le fond de l’assiette, accompagnées d’une couronne de frites bronzées, peut-être un peu trop grasses ;
Peu importe, je suis ici, non pas pour les patanes, mais bien pour ce qui fait la réputation de la maison ; La viande. Mac’arel, qu’es aquo ?,,, Malgré une bonne qualité de coupe, le couteau à steak peine à œuvrer dans son va et vient… La puce à l’oreille et la fourchette en bouche, j’ai la confirmation qu’il me faudrait des dents d’Orlu pour venir à bout de ce bastaros. Quelle déception, dont je fais part à la pitchoune serveuse.
Soudain, une ombre vient assombrir encore le tableau de mon assiette, bien plus que les platanes de la place. Lacube, au carré, yeux noirs, tee shirt noir, béret noir vissé, se précipite d’un pas lourd en rouméguant et en éclipsant la lumière.
J’ai cru un instant avoir vu l’ours des Pyrénées . Son rugissement confirme presque mon doute ; « J’SUIS PAS DANS LA BÊTE ». Mais c’est bien sur, le touriste ignare que je suis aurait du savoir que les vaches libres de nos montagnes ne se nourrissent pas de Lacube, mais bien l’inverse. Théâtralement, voila que « l’animal » buffant, hurle à la porte de sa tanière, de préparer illico une nouvelle viande, glaçant malgré la chaleur, les clients en terrasse.
Me voila servi cette fois, quelle surprise, d’un beau morceau de filet, cuit malheureusement à bisto de nas, que son cœur a encore en mémoire la température du frigo d’où il fut exfiltré d’un leste coup de griffe. Ce chaud froid est cette fois d’une tendreté extrême, presque un beurre de Rieucros, qu’il m’a rappelé le jour ou je suis tombé en panne avec ma vieille Taroille et que l’on m’a prêté une rutilante, Mercedes (avec la clim). Le graal était donc présent en ces lieux, caché, dans le noir certainement, dans les cuisines, ou même si le cuisinier n’est pas non plus « dans la bête », savait très bien, en découpant les tranches de rôti qu’elles n’intéresseraient même pas le mousseg d’un loup.
Un conseil, soyez plus géométrique, M.Lacube, avec vos cuisines et arrondissez les angles avec les clients, tout touristes soient ils, ce ne sont pas de bestioulets moutons.