A house in Saint-Sauveur-en-Puisaye that tells the story of Colette's literary creation and her world.
It was here, in the house and garden of her birth, that Colette acquired from her mother Sido her knowledge of plants and animals, and everything that shaped her personality. The Maison de Colette, with its slate roof (identical to that of the Château de Saint-Sauveur), stands out from the other houses in the village, and recounts the literary creation and world of the great artist. As for the interior, it has been superbly reconstructed. A "book house" (as we call it) offering numerous events throughout the year. Not to be missed!
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Members' reviews on COTTAGER'S HOUSE
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Mais depuis, prise de conscience de ce qu'une femme pouvait (et ne pouvait pas) faire au début du siècle.
Prenant, cette exaltation (et cette utilisation) de St Sauveur (Clotilde, La Vagabonde,,...) pour un village où elle n'a vécu que sa jeunesse.
Et de nombreuses anecdotes sur sa vie "ensuite" : ses maris, et ses compagnes (bisexualité), et son savoir-faire pour progresser...
Mais il est amusant de voir un village se passionner, et profiter, de Colette, alors qu'ils l'ont bannie à l’époque...
Les couleurs, papiers peints, le mobilier permettent de retrouver l'ambiance d'une maison bourgeoise à la fin du XIXe siècle. Le jardin a également été retravaillé par un architecte à l'identique.Visite guidée très agreable. Je recommande de réserver les places directement en ligne sur le site internet.
Merci pour ce beau moment. Et bravo à tous; mécènes, bénévoles, amis de la Maison de Colette.
Lorsque j'ai fait part de mon mécontentement j'ai été bloqué de leur page. Cela en dit long sur la tolérance, l'ouverture d'esprit et la mentalité...Je suis scandalisée !!
Musée et la Maison de Colette accueillent bien volontiers nos amis à quatre pattes, comme vous avez pu le constater, en accédant librement aux espaces et à notre manifestation et comme en témoignent les photos et les commentaires de nos visiteurs. Il y a néanmoins des restrictions qui sont de bon sens : que les animaux soient de petites tailles, puissent être portés dans les bras dans les salles à parquets et qu’ils ne perturbent pas le bon déroulement des visites et des activités (concert, lecture ou projection). Le fait est que les participants de la projection vous ont fait part de leur gêne due non pas à l’odeur comme vous le suggérez faussement mais à une respiration anormalement bruyante. Face à votre agressivité, nous avons dû réagir pour tenter de trouver une solution et vous avez fait le choix de partir en tenant des propos insultants à l’encontre de l’assemblée et des responsables puis sur les réseaux sociaux répétant un récit qui ne correspond en rien aux faits tels qu’ils se sont produits. C’est d’autant plus regrettable que le documentaire sur Madeleine Pelletier, figure oubliée de l’histoire du féminisme, était passionnant et a semblé satisfaire le public présent. La liberté des uns commence là où s’arrête celle dés autres. Et l’intolérance n’a, en effet, aucune place chez nous.